Qu'il fait bon dans nôtre moulin 9 : Poésie

Soucieuses

Le cœur serré

Le cerveau agité

Les jambes molles

Les mains gauches

La peur dans les yeux

Les oreilles aux aguets

Le mobile à portée

L’espoir d'un apaisement

Le souci qui effraie

La fiancée anxieuse

L’épouse angoissée…

L’amour maternel

Ne supporte pas

Les longues attentes

Les soirées interminables

Le cœur se déchire

Quand l’enfant est alité

Les nuits blanches

Sont le pain quotidien

Des mamans inquiètes

Au chevet d’un bambin

Ou d’un bébé qui tête

Filles, femmes, mémés

Mamans

Vous êtes si belles

Quand le souci passé

Vient le soulagement

Eclairant tout comme

L'étoile filante dans le firmament

Faisons un souhait

Comments

[Igal Camus Bouhn]

Hommage aux dames, cher Vivi, sans elles, nous ne serons rien.

[Igal Camus Bouhn]

Hommage aux dames, cher Vivi, sans elles, nous ne serons rien.

[Vivi]

Belle poésie Camus, merci